Les agents du FBI, par exemple, ont utilisé Facebook pour déterminer le lieu où se trouvent les fugitifs, ou vérifier les alibis en comparant les histoires que les suspects racontent aux autorités avec ce qu’ils ont écrit sur Twitter pendant la période considérée.
Le document intitulé “Obtenir et utiliser les preuves des sites de réseautage social” a été obtenu par la Fondation Eletronic Frontier, un groupe de protection des droits civils dans le monde numérique, à la suite du procès de la fondation contre le ministère américain de la justice.
La connaissance, c’est le pouvoir ( ?), rechercher tous les témoins sur les sites de réseaux sociaux, ? dit un extrait du document.
Une curiosité : le document énumère les réseaux sociaux les plus populaires dans chaque région, dont l’Amérique latine, où il est conseillé aux agents de chercher des informations (devinez quoi ?) à Orkut, bien sûr. Un autre extrait curieux est celui où Ashton Kutcher est citée sur le sujet qui traite de Twitter et Facebook comme des médias comparables aux journaux et à la télévision. Pour lire le document en entier, visitez la copie PDF hébergée par la Fondation Eletronic Frontier sur leur site web.