Avec un retour promis cette année et à cinq mois seulement de la fin 2018, le seul smartphone Palm qui soit apparu sur une agence de régulation de la planète ne semble pas si excitant.
Au moins la version Android qui fonctionnera sur l’appareil est Oreo (8.1), mais l’absence d’antenne pour les réseaux plus rapides que 2,4 GHz place l’appareil dans une catégorie intermédiaire plus simple.
En dehors de ces deux chiffres, il n’y a rien – pour l’instant – qui ne soit pas encore disponible. En particulier, quelle part de l’héritage de Palm sera insérée dans ce gadget, soit par un clavier physique coulissant comme dans Pre, soit s’il s’agit de n’importe quel Android qui a une marque connue – comme c’est le cas de Nokia aujourd’hui.
Pre a été lancé il y a près de 10 ans et a été l’un des premiers appareils dotés du webOS, lui aussi disparu, qui a été acheté par HP lorsqu’il a pris tout le Palm, puis par LG, qui utilise le système d’exploitation jusqu’à aujourd’hui dans ses appareils de télévision intelligents.
Il faut rappeler que Palm fait partie de TCL, un groupe chinois qui a récemment lancé certains produits en France, dont des smartphones plus simples. Parmi les autres marques contrôlées par le même groupe figurent Alcatel et BlackBerry.