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Samsung Galaxy S10+ : à la pointe de la technologie

Samsung réserve généralement ses plus grands lancements de smartphones à la génération Galaxy S even. Dans le dixième, la ligne de téléphones portables haut de gamme arrive d’abord en France en trois modèles, étant le plus complet : le Galaxy S10+. Il apporte un design renouvelé, une batterie plus grande et un écran géant, en plus de nouvelles technologies pour une marque phare, comme le lecteur d’empreintes digitales sous l’écran et un appareil photo ultra-large, qui sert à prendre des photos avec un champ de vision plus large.

Est-il vraiment bon ? Cela vaut-il la peine de dépenser des milliers de euros pour le lancement de Samsung ? La batterie de 4 100 mAh est-elle bien meilleure que celle de son prédécesseur ? Le capteur biométrique intégré à l’écran est-il fiable ? Et la caméra, c’est tout ce dont parle la société dans la publicité ? J’ai utilisé le Galaxy S10+ comme mon smartphone principal pendant une semaine et je répondrai à tout dans les prochaines minutes.

Analyse vidéo de Galaxy S10+

Conception

Samsung semble même avoir tenté de résister, mais a fini par céder à cran pour augmenter l’utilisation de l’écran. Le Galaxy S10+ possède une encoche en forme de pilule dans le coin supérieur droit avec les deux caméras avant : la principale de 10 mégapixels pour retirer les selfies et la secondaire de 8 mégapixels pour détecter la profondeur. Le haut-parleur était bien caché en haut, tandis que le lecteur d’iris était retiré tout au long de la ligne.

Au fait, la première fois que j’ai pris en main le Galaxy S10+, j’ai été surpris par sa légèreté (et d’autres collègues ont fait part du même sentiment). En chiffres, la version à fond de verre pèse 175 grammes, ce qui est inférieur aux 200 grammes que j’attends d’un téléphone portable avec un grand écran de 6,4 pouces et une batterie de 4 100 mAh pas très modeste. C’est une grande prouesse d’ingénierie, au point de me mettre mal à l’aise avec la note 9 de la galaxie, qui est très bosselée.

Personnellement, l’appareil est plus beau que dans les publicités Samsung, apportant un bord en aluminium bien fini et un dos en verre qui transmet un sentiment de robustesse. Tout est très bien adapté. La version blanche tend vers un demi-bleu et présente l’avantage de ne pas laisser d’empreintes digitales aussi visibles. En cherchant bien, je n’ai trouvé qu’un seul défaut : le bouton marche/arrêt était en position très haute, ce qui rend difficile de l’appuyer d’une seule main, surtout pour les gauchers.

Le lecteur d’empreintes digitales sur l’écran

Tous ceux qui suivent mes critiques savent que je n’ai jamais aimé le capteur biométrique à l’arrière, car il vous oblige à soulever l’appareil de la table chaque fois que vous devez le déverrouiller, ce qui entrave également la recharge sans fil. Ce n’est pas très ergonomique : le lecteur à l’arrière ne fonctionne bien que pour ceux qui laissent le téléphone dans leur poche, alors qu’à l’avant, il fonctionne pour tout le monde. Samsung a résolu le problème avec un lecteur d’empreintes digitales à ultrasons qui reste sous l’écran. Est-ce que c’est bon ? En quelque sorte.

La précision du lecteur d’empreintes digitales sous l’écran était égale ou supérieure à celle d’un capteur conventionnel, surtout dans les situations plus complexes. Savez-vous quand votre main est en sueur et que vous ne pouvez pas déverrouiller le téléphone avec votre doigt ? Le Galaxy S10+ ne semble pas souffrir du même problème :  j’ai même mouillé mon doigt exprès, et il a quand même réussi à reconnaître mon empreinte digitale.

Le problème est que le Galaxy S10+ a tenté à plusieurs reprises de se déverrouiller alors qu’il était dans la poche du pantalon. Comme le capteur biométrique reste sur l’écran, il a essayé de lire les empreintes ? sur ma cuisse. J’ai donc sorti le téléphone portable de ma poche et j’ai dû taper le mot de passe car j’étais censé avoir fait 40 ( !) tentatives de déverrouillage.

En outre, il y a une curieuse affaire : si vous gardez votre doigt sur le capteur, il faut un peu plus de temps pour le déverrouiller. Mais si vous donnez une petite tape au bon endroit, la lecture est plus rapide. Il suffit d’un peu de temps pour attraper le matin.

L’idée d’un lecteur d’empreintes digitales sous l’écran est excellente, mais l’exécution doit encore être améliorée. Et j’espère qu’une future mise à jour du logiciel permettra de résoudre les petits inconvénients.

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Écran, son et écouteurs

Il pleut à verse pour dire que le Galaxy S10+ dispose d’un écran d’excellente qualité. Les téléphones portables les plus chers de Samsung obtiennent une dixième note à cet égard dans les critiques de PerlmOl depuis au moins le Galaxy S6, lancé en 2015, lorsque les panneaux Super AMOLED de la société ont cessé d’avoir des couleurs éclatantes, que les cendres ont perdu l’apparence de la saleté et que les blancs sont devenus plus purs.

Sur le Galaxy S10+, nous avons un écran AMOLED dynamique de 6,4 pouces avec une résolution allant jusqu’à 3040×1440 pixels, une protection Gorilla Glass 6 et une définition sans faille. C’est exactement ce qui se passe dans les paramètres par défaut, le logiciel rendant tout en Full HD+, ce qui vous permet de ne pas gaspiller l’énergie de la batterie sans en avoir besoin. Curieusement, l’appareil est sorti d’usine en mode écran “naturel”, avec des couleurs moins saturées et une tache blanche plus chaude, ce que je préfère (mais qui préfère des tons plus vifs peut changer cela).

L’angle de vue était déjà parfait dans les générations précédentes, tandis que la luminosité et le contraste sont sensiblement plus forts dans les environnements très ensoleillés. Vous ne devriez donc avoir aucun problème à utiliser le Galaxy S10+ cet été par une chaleur torride. La gamme dynamique continue d’étonner et s’est même améliorée avec l’inclusion de la norme HDR10+, mais nous avons certainement besoin de plus de soutiens que le Amazon Prime Video pour exploiter tout le potentiel de l’affichage.

Enfin, une bonne chose à propos du panneau AMOLED dynamique du Galaxy S10+ qui ne peut pas s’éteindre, mais qui est difficile à mesurer dans une revue, est que l’écran émet une lumière bleue moins nocive ? celle qui interrompt la production de mélatonine et perturbe votre sommeil. Cela se fait sans modifier les couleurs d’affichage et sans qu’il soit nécessaire d’activer le filtre par logiciel, ce qui ne présente donc que des avantages.

Les haut-parleurs sont stéréo et de bonne qualité, dans le cadre de ce que j’attends d’un smartphone haut de gamme. La gamme dynamique est satisfaisante pour un téléphone portable, risquant un peu de graves et émettant un son clair et ouvert. Le volume atteint des niveaux très élevés, mais les fréquences moyennes se déforment, ce qui fait que vous ne voulez pas trop augmenter le son.

Les écouteurs sont les mêmes que les précédents Galaxy S et Note, avec la marque AKG, un design intra-auriculaire confortable pour mes oreilles et un son de qualité : les écouteurs de milieu de gamme sont bien représentés, sans être envahis par les basses fréquences, ce qui devrait également satisfaire ceux qui aiment les basses avec plus d’impact. C’est un excellent accessoire, d’autant plus qu’il est déjà dans la boîte.

Logiciel

Le point fort de l’Android 9 Pie de Samsung est la nouvelle interface, baptisée One UI. Le look précédent n’était pas mauvais, mais les applications natives remaniées ont très bien fonctionné pour les écrans géants d’aujourd’hui : les boutons restent presque toujours en bas, pour être facilement accessibles avec le pouce ; et les listes d’éléments commencent au milieu de l’écran, et non pas en haut, ce qui permet une navigation à une main. Avec le recul, cela semble être une évolution tellement naturelle que je me demande pourquoi personne n’y a pensé avant.

Plusieurs écrans, tels que le gestionnaire d’application et le centre de notification, ont été remodelés pour s’adapter à la norme Android 9 Pie. De nouvelles fonctionnalités ont été ajoutées par Google, telles que Digital Wellness, qui indique le temps passé sur votre téléphone, le nombre de fois que vous avez déverrouillé l’appareil et le nombre de notifications envoyées par chaque application. N’importe qui peut programmer l’écran en niveaux de gris à un moment donné pour que votre cerveau ne soit pas trop stimulé avant de dormir.

Une autre fonctionnalité intéressante est la routine de Bixby, qui automatise les tâches : vous pouvez programmer le Galaxy S10+ pour qu’il active le filtre de la lumière bleue, diminue la luminosité et les notifications de silence au coucher ; ou encore laisser l’affichage permanent indiquer l’heure à laquelle le téléphone se recharge. Et n’oubliez pas le très attendu Mode Nuit, qui assombrit les écrans pour ne pas vous cacher les yeux ; il est intégré au navigateur de Samsung, de sorte que tout site devient plus agréable à lire.

Mais ce n’est pas un logiciel parfait. Le point de discorde est l’assistant vocal de Samsung, qui ne comprend toujours pas le portugais de France, même en phase bêta, deux ans après la sortie. Même l’français et l’allemand, qui ont moins de locuteurs, ont gagné du soutien dans la dernière version de Bixby. Ainsi, le bouton supplémentaire situé sur le côté gauche du Galaxy S10+ s’avère être d’une utilité limitée. Vous feriez mieux d’aller dans les paramètres et de changer la fonction de ce bouton pour quelque chose de plus intéressant, comme l’application Google.

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Un petit détail ridicule sur un petit reportage, après tout, qui se soucie de Bixby ? En fait, elle fait partie d’un écosystème beaucoup plus vaste : Samsung a beaucoup parlé de l’internet des objets et de la maison connectée en France, mais elle n’a même pas encore développé les commandes vocales pour notre marché. Même Apple, qui détient 5 % de la part de marché des smartphones dans le pays (et non 50 %), est plus préparé que les Coréens.

Caméras

En parlant d’appareils photo, MyEmoji de Samsung a reçu de nouveaux vêtements et accessoires et ? ok, passons aux choses sérieuses.

A l’heure où les entreprises se battent pour savoir qui met le plus d’objectifs dans le même téléphone, Samsung a réussi à tirer le meilleur parti de la triple caméra arrière du Galaxy S10+. Il n’y a pas grand chose de nouveau dans le capteur principal, qui reste à 12 mégapixels et à ouverture variable (f/1.5-2.4), ni dans le téléobjectif, qui capture des images avec un zoom optique 2x. Ils continuent à prendre des photos de grande qualité, quelles que soient les conditions d’éclairage, comme on peut l’attendre d’un modèle haut de gamme de la marque.

Le bon complément est l’objectif ultra-large, idéal pour photographier des paysages, avec un champ de vision plus large. Sur les photos, il présente des couleurs saturées dans la bonne mesure et une excellente définition. La nuit, le bruit est plus important que dans la caméra principale, mais cela ne dérange toujours pas. Dans les vidéos, Samsung a profité du nouveau capteur pour inclure un mode super-stable, qui fonctionne comme le GoPro Hero 7 Black, en coupant les bords de l’image pour faire une stabilisation numérique à un niveau très impressionnant.

En ce qui concerne les autres caméras arrière, ce que je dois dire, outre l’évidence, c’est que la gamme dynamique a fait un nouveau bond dans la Galaxie S10+. De jour comme de nuit, Samsung mérite des applaudissements pour avoir laissé toutes les zones d’éclairage et d’ombre bien exposées, sans exiger de l’utilisateur aucune connaissance en photographie. L’application caméra donne même des conseils pour mettre le téléphone à niveau et obtenir une meilleure image.

Pour s’améliorer, il suffit de travailler sur le logiciel. Samsung a déjà atteint un niveau de netteté, d’exposition et de couleurs impeccable, mais Google fournit des résultats visuellement sensationnels grâce à un post-traitement plus intelligent sur les téléphones à pixels : le Night Sight semble faire de la sorcellerie avec les photos de nuit. J’ai remarqué un mouvement timide dans la Galaxy S10+ : celui qui est plus attentif remarquera quelques rayons de lumière sur les photos de nuit, ce qui jusque-là n’était possible qu’avec une ouverture d’objectif très fermée.

Dans les caméras frontales, qui tournent maintenant en 4K, les résultats sont également bons. Le capteur de profondeur permet d’identifier le sujet principal et de bien brouiller l’arrière-plan. Et les nouveaux effets sont géniaux : l’un des plus cool est celui qui laisse l’objet le plus proche coloré et le fond en noir et blanc. Il n’y a aucun moyen d’échapper au filtre d’embellissement de Samsung : même lorsqu’il est désactivé, il tentera toujours d’adoucir votre peau.

Mais ce ne sont que des détails : le Galaxy S10+ possède l’un des meilleurs appareils photo de cette génération et est certainement le meilleur que vous trouverez sur un Android sur le marché français.

Performance et batterie

Contrairement à la génération précédente, la franchise Galaxy S10+ est équipée d’un processeur Samsung Exynos 9820, fabriqué en 8 nanomètres ? la version Snapdragon 855 de Qualcomm a été limitée à quelques pays, dont les États-Unis. Techniquement, Exynos est une puce plus faible, mais cela ne fera une différence que pour ceux qui se soucient d’afficher des résultats de référence. Le modèle que j’ai testé était équipé de 8 Go de RAM et de 128 Go de stockage interne, avec la possibilité d’une extension microSD dans le slot hybride.

Le matériel ne m’a jamais laissé tomber. Je n’ai pas eu à m’étouffer avec les animations, à planter dans les applications ou à ralentir le multitâche. Tout s’est ouvert rapidement, de WhatsApp à Grand Theft Auto : San Andreas. Et le GPU du Mali-G76 permettait de faire tourner des jeux lourds comme Asphalt 9 : Legends et Breakneck avec des graphismes sans faille et une fréquence d’images constante. C’est un très bon ensemble, qui devrait durer plusieurs années.

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La batterie était bonne, mais pas surprenante pour un composant de 4 100 mAh : dans ma routine, l’autonomie n’était pas meilleure que celle d’un iPhone XS, qui n’a que 2 716 mAh. Le Galaxy S10+ devrait durer toute la journée pour la plupart des utilisateurs, mais ceux qui jouent ou aiment regarder beaucoup de vidéos sur leur téléphone portable doivent prendre une banque d’énergie pour ne pas être à court de batterie.

Lors de mes journées d’essai, en sortant l’appareil de la prise à 9 heures du matin, en écoutant une heure de musique en streaming sur la 4G et en surfant sur le web pendant environ 2 heures, également sur le réseau mobile, toujours avec une luminosité sur l’automatique, je suis arrivé à la fin de la journée avec une batterie d’environ 30%. C’est une autonomie similaire à celle de la Galaxie Note 9 et légèrement meilleure que celle de la Galaxie S9+.

Il n’y a donc plus de batterie à gaspiller pour recharger les téléphones de vos amis. Mais la fonction Wireless PowerShare, qui transforme le Galaxy S10+ en chargeur à induction, est utile la nuit ou en voyage : vous pouvez laisser le téléphone connecté à un seul câble et alimenter certains accessoires à l’arrière, comme les écouteurs Galaxy Buds ou une montre intelligente compatible Qi.

Cela en vaut-il la peine ?

Un des avantages d’être un géant comme Samsung est qu’il peut fabriquer presque tous les composants de ses produits. L’entreprise a combiné son meilleur processeur, son meilleur écran et sa meilleure caméra avec un logiciel qui a fait un grand bond en avant par rapport à la génération précédente. Le résultat ne pourrait pas être différent : le Galaxy S10+ est un rêve de consommateur et ne présente pratiquement aucun défaut. Il est difficile de trouver des points d’amélioration dans la Galaxie S10+. Peut-être que la batterie peut durer plus longtemps ? seulement qu’elle atteint les limites de la technologie actuelle.

Il y a longtemps que Samsung a fait mouche, en résolvant les points négatifs qui frappaient les modèles précédents. Le design avait un goût douteux jusqu’au Galaxy S5, avec ce dos en plastique qui ressemblait à un pansement. Le logiciel a été à juste titre fortement critiqué à l’époque du TouchWiz coloré avec d’étranges nuances de vert partout. Et les caméras n’étaient pas tout ça avant la Galaxie S7. Rien de tout cela n’est plus un problème.

Pour ceux qui prévoient une mise à niveau, le Galaxy S9+ et le Galaxy Note 9 donnent encore un bon bouillon ? et devraient survivre longtemps, surtout avec l’interface One UI, qui a apporté un nouveau souffle aux appareils. D’autre part, ceux qui possèdent un Galaxy S8 ou antérieur peuvent commencer à réfléchir au changement : les bonnes avancées des appareils photo, l’augmentation de la batterie et l’amélioration du matériel font du Galaxy S10+ une mise à niveau considérable.

Mais commencez à penser à l’échange, bien sûr, car payer des milliers de euros sur un téléphone portable n’est pas facile pour tout le monde.

Samsung Galaxy S10+

AVANTAGES

  • D’excellentes caméras, quel que soit l’éclairage
  • Capacité de traitement de réserve
  • Une conception mince et légère malgré une batterie plus grande
  • Le meilleur écran jamais vu sur un smartphone
  • Une interface utilisateur est claire et facile à utiliser
  • DESAVANTAGES

  • Deux ans plus tard, pas de Bixby beta en français ?
  • Ce bouton marche/arrêt si haut n’a pas de sens
  • Spécifications techniques

  • Batterie : 4 100 mAh ;
  • Caméras à l’avant :
  • Principal : 10 mégapixels f/1.9 avec un champ de vision de 80 degrés ;
  • Détection de profondeur : 8 mégapixels f/2,2 avec un champ de vision de 90 degrés ;
  • Caméras arrière :

  • Principal : 12 mégapixels f/1.5-2.4 avec stabilisation optique de l’image et champ de vision de 77 degrés ;
  • Téléobjectif : 12 mégapixels f/2,4 avec stabilisation optique de l’image et champ de vision de 45 degrés ;
  • Ultra-large : 16 mégapixels f/2.2 et champ de vision de 123 degrés ;
  • Connectivité : 3G, 4G (LTE Catégorie 20), Wi-Fi 802.11a/b/g/n/ac/ax, GPS, Galileo, Glonass, BeiDou, Bluetooth 5.0, ANT+, USB-C, NFC, MST ;

    Dimensions : 157,6×74,1×7,8 mm ;

    GPU : Mali-G76 MP12 ;

    Mémoire externe : prise en charge des cartes microSD jusqu’à 512 Go ;

    Mémoire interne : 128 Go, 512 Go ou 1 To ;

    RAM : 8 Go ou 12 Go de mémoire LPDDR4X ;

    Poids : 175 grammes (verre) ou 198 grammes (céramique) ;

    Plate-forme : Tarte Android 9.0 ;

    Processeur : 2,73 GHz octa-core Samsung Exynos 9820 ;

    Capteurs : accéléromètre, boussole, proximité, luminosité, gyroscope, lecteur d’empreintes digitales à ultrasons, battements de coeur ;

    Écran : écran dynamique AMOLED de 6,4 pouces avec une résolution de 3040×1440 pixels (522 pixels par pouce) et certification HDR10+.

  • A propos de l'auteur

    Zineb

    Enseignante en lycée, je m'intéresse à tout ce qui touche aux nouvelles technologies. #teamMac sur PerlmOl (je ne me sépare d'ailleurs jamais non plus de mon Iphone).

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