Mobile

Xperia T2 Ultra Dual, l’intermédiaire de 6 pouces de Sony

Les ventes de tablettes ont chuté ces derniers mois. Cela s’explique en partie par la demande croissante de smartphones à grand écran. On ne peut toujours pas dire que cette catégorie est tombée dans le goût des franchisés, mais il y a des fabricants pariant sur ce segment ici. L’un des exemples les plus récents est le Xperia T2 Ultra Dual : le gros de Sony a commencé à être vendu dans le pays à la fin du mois de mai.

Comme Nokia avec son Lumia 1320, le fabricant japonais investit dans des caractéristiques bien assimilées par le marché français pour rendre l’appareil convaincant : le Xperia T2 Ultra Dual supporte deux cartes SIM ; de plus, le modèle combine son écran de 6 pouces et sa résolution HD avec des spécifications matérielles intermédiaires, ce qui contribue à le rendre moins cher : son prix conseillé est de 1 299.

Cette combinaison offre-t-elle un bon rapport qualité-prix ? En d’autres termes, le Xperia T2 Ultra Dual peut-il s’adapter à la vie quotidienne, notamment aux vidéos et aux jeux, les activités les plus invitantes lorsque l’on dispose d’un écran aussi généreux ? C’est ce à quoi répond PerlmOl dans cette revue.

Conception et empreinte

Lorsque nous prenons pour la première fois un smartphone avec un écran de 6 pouces (la plupart des fabricants évitent les termes de “phablets” et de “foblets” pour cette catégorie), nous en avons un aperçu, mais nous avons presque en même temps tendance à être déconcertés par les dimensions physiques de l’appareil.

Seulement, de tous les “grands” que j’ai testés, le Xperia T2 Ultra Dual est celui qui m’a le moins gêné à propos de la taille. Le modèle fait 165,2 mm de haut et 83,8 mm de large, mais son épaisseur de seulement 7,7 mm contribue beaucoup à le rendre plus confortable à tenir.

Le poids collabore également : 173 grammes est une très bonne mesure pour un appareil de cette taille, puisque l’utilisateur le tient avec moins de peur de le faire tomber et, dans les situations qui l’exigent, facilite son transport dans la poche du pantalon ou de la blouse (à condition qu’il y ait de la place, bien sûr).

L’aspect extérieur rappelle le design que Sony a adopté sur les récents modèles Xperia, mais c’est loin d’être un inconvénient : l’accent mis sur les lignes droites plutôt que sur les courbes donne à l’appareil un aspect de robustesse qui le rend bien accepté par pratiquement tout type de public.

En bref, c’est un beau smartphone. Non amovible, son dos lisse et sa texture déjà classique dite “piano noir” renforcent encore cette impression, bien qu’elle apporte un “effet secondaire rapidement perceptible” : il est très facile d’y laisser des empreintes digitales et tout risque apparaîtra de manière “criante”.

Il est intéressant de noter comment Sony a fait bon usage des côtés du Xperia T2 Ultra Dual, en particulier le côté droit : cette partie concentre tous les boutons physiques (alimentation, contrôle du volume et caméra), les emplacements pour les cartes SIM (type micro-SIM) et l’entrée P2 pour les écouteurs.

La disposition des boutons physiques est bien pensée. Comme il se doit, le bouton qui commande l’appareil photo est plus éloigné, ce qui facilite son activation lorsque le téléphone portable est en “mode paysage”, la position idéale pour les photos et les vidéos. Le bouton marche/arrêt est le bouton rond qui est devenu une marque de fabrique de la ligne Xperia. Ce format est utile car il évite à l’utilisateur de le confondre avec le contrôle de volume juste à côté.

Un détail qui peut vous gêner est la fixation des boutons du volume et de l’appareil photo : vous pouvez facilement les faire pivoter avec vos doigts. Cet aspect n’empêche pas l’utilisation, mais il transmet un sentiment de fragilité.

Le côté gauche est également mis à profit, devrais-je dire. C’est là que se trouvent l’entrée micro-USB et la fente pour carte microSD (jusqu’à 32 Go). Comme vous pouvez le voir, il n’y a plus rien pour les extrémités supérieure et inférieure.

Si vous pensez qu’utiliser ce smartphone avec une seule main sera un problème, eh bien, vous ne pouvez pas nier que c’est un inconvénient possible dans certaines situations. Mais les boutons physiques à mi-hauteur aident à cet égard. De plus, si vous appuyez deux fois de suite sur le bouton Accueil, vous pouvez accéder aux options de la zone de notification dans la moitié inférieure de l’écran. L’idée ne résout pas le problème, mais casse une branche.

Écran

Regarder des vidéos, regarder des photos et jouer à des jeux sur l’écran du Xperia T2 Ultra Dual est une très bonne expérience, mais pas exceptionnelle. C’est parce que la composante de 6 pouces est complétée par une résolution de 1280×720 pixels et une densité de 245 ppi.

  Un téléphone portable Motorola à bords fins et sans encoche se perd dans les images

Ces spécifications sont suffisantes pour la grande majorité des applications, mais une résolution Full HD (1080p) conviendrait certainement mieux à un écran aussi grand – la densité de seulement 245 ppi permet de distinguer les pixels dans les icônes, par exemple, même avec un certain effort.

Heureusement, l’écran présente de très bons niveaux de luminosité et de contraste, ainsi qu’une excellente fidélité des couleurs. Mérite, au moins en partie, d’une technologie que Sony appelle Triluminos, qui rend essentiellement les couleurs plus vives, mais sans les sursaturer.

De plus, l’écran du T2 Ultra Dual réagit bien aux contacts, offre une bonne visibilité à différents angles de vue et un réglage automatique de la luminosité satisfaisant.

Utiliser l’appareil dans un endroit où il y a beaucoup de lumière aussi n’est pas un martyre : dans les environnements ouverts, à prédominance de lumière solaire, il n’était même pas nécessaire de laisser la luminosité au niveau maximum pour visualiser les informations à l’écran.

Logiciels et multimédias

Le Xperia T2 Ultra Dual disponible en France quitte l’usine avec Android 4.3 (Jelly Bean) comme système d’exploitation, avec une mise à niveau vers KitKat qui devrait apparaître dans les prochains mois.

Mais pas un “pur” Android : l’appareil dispose d’une interface personnalisée de Sony, simple, fonctionnelle et axée sur le multimédia, mais ne semble pas avoir été optimisé pour exploiter tout le potentiel du T2.

L’une des premières choses que nous faisons lorsque nous achetons un nouveau smartphone est de passer d’un écran à l’autre dès le début. Le Xperia T2 Ultra Dual répond de manière satisfaisante à ces commandes, mais tous ceux qui ont testé le Moto G, par exemple, qui dispose d’un matériel similaire, ont l’impression que les animations pourraient être un peu plus rapides.

Mais ce qui dérange vraiment, c’est la situation de ces trois boutons Android (Retour, Accueil et Applications / Menu) : comme ils ne sont pas fixés au fond, il suffit de faire glisser le doigt du bord vers le centre de l’écran pour qu’il apparaisse. Le problème est que, selon l’application en cours d’exécution, ce retour prend de précieuses secondes ou simplement échoue, vous obligeant à essayer plus d’une fois.

L’un des écrans de démarrage est doté d’un widget a intégré à l’application Album, qui affiche les vignettes des photos de manière séquentielle. Il suffit de les faire glisser vers le haut ou vers le bas pour passer d’une image à l’autre. C’est une idée intéressante, mais le widget et l’application prennent tous deux deux deux à trois secondes pour rendre chaque photo complètement, assez pour s’ennuyer. Encore une fois, l’impression que vous avez est qu’il s’agit de logiciels non optimisés.

Le lecteur vidéo, appelé seulement “Movies”, fait mieux, bien qu’il existe des options plus attrayantes pour la plateforme. L’application gère les vidéos dans les formats les plus populaires, tels que AVI et MP4, sans étouffement, et est compatible avec les sous-titres. Cependant, dans les tests effectués pour cette révision, le joueur n’a pas été capable d’afficher correctement les accents.

L’intégration de l’application avec Gracenote mérite d’être mentionnée : lorsque le programme est capable d’identifier le film auquel la vidéo se réfère, il est en mesure d’afficher des informations supplémentaires, telles que la catégorie et la distribution.

La partie audio est en charge du baladeur compétent. Compatible avec des formats tels que MP3, WMA et AAC, l’application prend en charge les listes de lecture, affiche un petit lecteur sur l’écran verrouillé, organise les pistes par artiste ou album, peut télécharger des informations supplémentaires à partir des chansons, fonctionne avec Throw (outil permettant de transmettre l’audio via DLNA à un téléviseur, par exemple) et est intégrée au service de streaming Music Unlimited, Sony lui-même.

Le T2 est également livré avec Sony Select, un magasin qui propose des applications, des jeux, de la musique et des vidéos qui, lorsqu’on clique dessus, sont redirigés vers Google Play. Quel est l’avantage, alors ? Sony explique que l’application n’affiche que le contenu qui est 100% compatible avec l’appareil.

Mais cette fois-ci, la société japonaise a abandonné la pratique ennuyeuse consistant à rendre le smartphone disponible avec des applications qui ne peuvent être désinstallées que si l’utilisateur “achemine” l’Android. S’il existe des contrats de distribution de ce logiciel, l’utilisateur peut au moins avoir la possibilité de le retirer par des moyens conventionnels.

Caméra

La caméra arrière du Xperia T2 Ultra Dual n’est pas aussi avancée que celle du Xperia Z2, par exemple, mais elle est loin de déplaire : composée d’un capteur de 13 mégapixels, elle est capable d’enregistrer des photos avec une résolution allant jusqu’à 4128×3096 pixels et des vidéos à 1080p et 30 ips.

Dans les endroits bien éclairés, la caméra génère des images pratiquement sans bruit, bien qu’il soit possible de remarquer un manque de netteté en certains points un peu plus en arrière-plan par rapport à l’objet, mais rien qui ne l’effondre.

  Android P pourrait être lancé le 20 août ; voici les nouvelles

Les photos prises la nuit avec un flash ressortent également bien (voir image ci-dessous), mais ici la règle de la proximité s’applique : avec des distances supérieures à 1,5 m ou 2 m, l’éclairage de la LED du smartphone ne suffit pas. Au moins, les ajustements automatiques peuvent bien compenser le manque de lumière dans les environnements plus sombres, bien qu’il puisse manquer un peu de couleur (voir la deuxième image ci-dessous).

L’application caméra présente plusieurs caractéristiques. Il dispose d’outils pour les photos panoramiques, les portraits, les images avec un fond flou, la création d’effets artistiques, le partage sur les réseaux sociaux, en plus du mode manuel, qui permet d’activer une scène prédéfinie (pour les photos de nuit ou de paysage, par exemple) ou de modifier la sensibilité ISO, bien qu’il ne soit pas possible de régler l’exposition ou l’ouverture.

Il existe également une curieuse option appelée Effet AR : elle utilise la réalité augmentée pour insérer des objets et des scénarios dans l’image (papillons, effet d’eau, dinosaure, etc.). Le T2 a mis un certain temps à appliquer certains de ces effets, mais comme la fonction a est juste pour le plaisir et ne sera pas utilisée constamment, ce détail ne devient pas un problème.

En matière d’enregistrement vidéo, la caméra du Xperia T2 Ultra Dual fait également bien son travail. L’enregistrement peut se faire en 1080p et 30 images par seconde, comme nous l’avons déjà dit, le microphone peut capturer le son avec clarté et le stabilisateur d’image atténue les inconvénients des tremblements, mais sans faire de miracle.

La vidéo ci-dessous montre comment la caméra fonctionne en après-midi, avec le coucher du soleil :

Une caractéristique très intéressante remarquée dans l’examen du Xperia Z2 est également présente ici : la possibilité d’enregistrer des vidéos en HDR, une fonction commune à de nombreux appareils photo et smartphones, mais pour l’enregistrement de photos.

Contrairement à ce que j’ai remarqué sur d’autres gros smartphones, prendre des photos et des vidéos avec le Xperia T2 Ultra Dual n’est pas une tâche inconfortable. Son poids raisonnable et son épaisseur réduite contribuent à cette impression. Le bouton de la caméra sur le côté est également utile, car il est placé à un endroit où nous soutenons normalement l’index.

Ce bouton est également le bienvenu car il permet d’activer l’appareil photo même lorsque celui-ci est verrouillé, ce qui prend deux à trois secondes pour qu’il soit disponible. Une seconde de moins serait plus intéressante, c’est vrai, mais le bouton profite quand même du rituel de déverrouillage de l’écran et de clic sur l’application de la caméra.

Il est intéressant de noter que le bouton n’est pas le seul moyen d’accéder rapidement à la caméra : il existe un raccourci à côté de l’horloge sur l’écran de verrouillage qui permet également de l’activer sans avoir besoin de mot de passe.

La caméra frontale n’a pas été oubliée par Sony, mais, comme d’habitude, vous ne pouvez pas en attendre grand-chose : celle que le T2 équipe de 1,1 mégapixel et qui enregistre des vidéos en 720p. Elle n’a pas beaucoup d’utilité en dehors de la vidéoconférence.

Matériel et performances

Le Xperia T2 Ultra Dual est équipé d’un Snapdragon 400 SoC avec quatre cœurs Cut-A7 de 1,4 GHz et un GPU 305 Adreno, plus 1 Go de RAM. Sa configuration est presque la même que celle des spécifications du Moto G, ce qui indique que l’appareil peut gérer des applications quotidiennes, mais sans montrer de performances exceptionnelles.

En fait, le Xperia T2 Ultra Dual permettait d’utiliser des vidéos et des applications un peu plus exigeantes comme Google Earth et Skype en visioconférence sans cligner des yeux.

Le jeu Asphalt 8 : Airborne a également bien fonctionné, mais avec une qualité graphique en “normal” ; dans l’option “élevé”, le jeu a donné quelques “gelés” rapides, mais rien qui compromette sérieusement son exécution. Ce qui peut gêner un peu, c’est le chauffage à l’arrière du T2 lorsqu’il y a un traitement lourd.

Les résultats des benchmarks ne laissent aucun doute sur le fait qu’il ne s’agit pas d’un d’un top of the line :

La capacité de stockage est de 8 GB, il n’y a plus de versions d’espace. Le problème est qu’un peu plus de la moitié seulement de ce total est disponible pour l’utilisateur – le reste est absorbé par le système d’exploitation et les diverses applications installées en usine. Une carte mémoire est donc pratiquement obligatoire. T2 prend en charge les microSD jusqu’à 32 Go.

En matière de connectivité, la seule déception est l’absence de 4G, qui n’existe que dans la version “single-SIM”. En outre, il y a la 3G, le Wi-Fi 802.11n, le Bluetooth 4.0, le DLNA, le NFC et le port micro-USB 2.0. Je n’ai pas remarqué de problème dans l’utilisation de ces connexions.

En ce qui concerne l’audio, le haut-parleur se trouve à l’arrière et a la qualité sonore attendue pour un smartphone, c’est-à-dire pas de basses et une certaine distorsion au volume maximum. Pour plus de qualité, uniquement avec des écouteurs, comme toujours.

  La première tablette avec Android 4.0 est vendue au prix de 99 dollars

Pour ceux qui veulent utiliser deux cartes SIM, le Xperia T2 Ultra Dual les gère bien : vous pouvez les garder toutes deux actives en même temps et définir des sonneries différentes pour chacune, par exemple.

Batterie

Les smartphones de grande taille laissent de la place pour des batteries de plus grande capacité et le Xperia T2 Ultra Dual fait bon usage de cette possibilité : avec 3 000 mAh, le composant a suffisamment d’autonomie pour que l’appareil puisse être utilisé toute la journée sans que vous ayez à vous soucier d’avoir une prise de courant à proximité.

Lors du premier test de batterie, j’ai fait tourner le film Salt (1 heure et 40 minutes) via Netflix en gardant la luminosité de l’écran au maximum et le Wi-Fi allumé, évidemment. Au terme de quatre passages consécutifs, la charge de la batterie est passée de 100 % à 26 %.

Le deuxième test portait sur les activités quotidiennes : un appel de 6 minutes, le jeu une vidéo AVI en plein écran d’une durée de deux heures et en 720p, l’utilisation du navigateur et des réseaux sociaux via la 3G pendant environ une heure, la musique sur le haut-parleur également pendant une heure, le tournage de 15 photos et le jeu Asphalt 8 : Airborne pendant 30 minutes. Après tout cela, la batterie avait une charge de 46%.

Mais si vous pensez que vous allez être éloigné d’une prise de courant assez longtemps pour que la batterie se décharge complètement, vous pouvez remédier à la situation en activant le mode STAMINA, qui éteint automatiquement les réseaux Wi-Fi et mobiles lorsque l’appareil est en mode veille pour les reconnecter lorsque l’écran est activé, et qui peut limiter les ressources matérielles.

Quant au temps de charge, le T2 a mis 3 heures et 40 minutes pour faire passer la charge de 10 à 100 % avec l’appareil branché directement dans la prise.

Points négatifs

  • Résolution 720p sur un écran de 6 pouces ;
  • Il est facile de laisser des empreintes digitales au dos de l’appareil et sur l’écran ;
  • L’interface personnalisée pourrait être optimisée pour mieux s’adapter au matériel ;
  • L’appareil dispose de 8 Go de stockage, mais seule la moitié est disponible pour l’utilisateur.
  • Points positifs

  • Batterie à grande autonomie ;
  • Une performance honnête, étant donné les spécifications du dispositif ;
  • Une caméra convaincante, même si ce n’est pas la meilleure de Sony.
  • Conclusion

    Les smartphones avec un écran de 6 pouces semblent maladroits pour la plupart des gens, mais ils sont vraiment une option pour ceux qui privilégient la consommation de contenu et ne veulent pas ou ne peuvent pas investir dans une tablette. Le problème est que beaucoup de modèles de la catégorie se détournent de l’idée d’avoir un prix élevé.

    Avec le Xperia T2 Ultra Dual, Sony tente de trouver un équilibre pour offrir le meilleur rapport qualité-prix. Le modèle glisse sur certains points, comme l’écran à résolution 720p au lieu de 1080p, mais en touche d’autres, comme la batterie à grande autonomie et le support de deux cartes SIM, une caractéristique très bien vue en France.

    Bien entendu, la question des dimensions d’un tel appareil doit être prise en compte lors de la décision d’achat : à moins d’utiliser un sac à dos ou un sac, le transport du T2 ne sera pas l’une des tâches les plus triviales. Au moins, la légèreté est payante dans les situations où vous devez le tenir d’une seule main : 173 grammes est un très bon poids pour un smartphone de cette taille.

    Comme vous l’avez peut-être remarqué, il s’agit d’une diapositive ici, elle compense à partir de là. En général, l’appareil peut traiter la plupart des applications, mais il ne conviendra probablement pas à l’utilisateur le plus exigeant. Toute personne souhaitant l’acquérir doit donc être pleinement consciente qu’il s’agit d’un smartphone de milieu de gamme, sinon elle risque d’être déçue.

    Malgré les efforts déployés, le prix suggéré de 1 299 n’est pas du tout avantageux si l’on tient compte des spécifications du matériel. Cependant, vous pouvez déjà trouver des offres plus avantageuses dans le commerce de détail. En utilisant un comparateur de prix, il a été possible de trouver le modèle vendu avec des prix allant de 1 000 à 1 100 Reais dans les magasins en ligne le jour de la publication de cette revue.

    Spécifications techniques

  • Batterie : 3 000 mAh (Li-Ion, non amovible) ;
  • Caméra : 13 mégapixels (arrière) et 1,1 mégapixel (avant) ;
  • Connectivité : 3G, 802.11n Wi-Fi, GPS, NFC, Bluetooth 4.0 et micro-USB 2.0 ;
  • Dimensions : 165,2 x 83,8 x 7,7 mm ;
  • GPU : Adreno 305 ;
  • Mémoire externe : microSD jusqu’à 32 Go ;
  • Mémoire interne : 8 Go ;
  • Mémoire RAM : 1 Go ;
  • Poids : 173 grammes ;
  • Plate-forme : Android 4.3 Jelly Bean ;
  • Processeur : 1,4 GHz Snapdragon 400 quad-core ;
  • Capteurs : accéléromètre, boussole, gyroscope et proximité ;
  • Écran : 6 pouces IPS avec une résolution de 1280×720 pixels.
  • A propos de l'auteur

    Véronique

    La trentaine, maman de deux petits monstres de 10 ans. Je pèse chaque jour le pour et le contre dans l'utilisation des écrans pour mes bambins !
    J'écris souvent depuis les transports en commun (#teamTablette).

    Laisser un commentaire