Internet

L’alternative à WikiLeaks fait ses débuts en phase alpha

Prévu pour décembre de l’année dernière, OpenLeaks a finalement fait ses débuts sur Internet hier. Le créateur du site, Daniel Domscheit-Berg, avait déjà annoncé sa création et une partie de son fonctionnement, après s’être débarrassé du site créé par Julian Assange en raison de quelques malentendus internes. Domscheit-Berg n’est pas parti seul : une partie de l’équipe de son “concurrent” a également laissé Assange derrière lui.

Contrairement à WikiLeaks, qui contrôle les documents entrants et leur mise en ligne, OpenLeaks est conçu comme une plateforme permettant de recevoir des documents confidentiels en toute sécurité de toute personne disposant d’une connexion Internet. Cette personne peut également choisir quels journalistes, organisations ou membres des médias peuvent avoir un accès direct à ces documents, en leur laissant le choix de ce qui peut être publié.

Le site n’est toutefois pas encore pleinement fonctionnel. Son état actuel, selon le site lui-même, est en alpha, une phase avant le bêta. À ce stade, OpenLeaks ne reçoit pas encore de documents, car il n’y a pas assez de membres pour les examiner. L’objectif du site est maintenant d’apporter des améliorations à son concept, à son infrastructure et à ses processus. La promesse de son créateur est qu’au milieu de l’année, il sera au moins en phase bêta.

  Après avoir subi des pressions, Apple cède : les artistes seront payés même pendant la période de dégustation de la musique

A propos de l'auteur

Véronique

La trentaine, maman de deux petits monstres de 10 ans. Je pèse chaque jour le pour et le contre dans l'utilisation des écrans pour mes bambins !
J'écris souvent depuis les transports en commun (#teamTablette).

Laisser un commentaire