M. Caspar accuse la société d’accéder et de stocker illégalement les données de personnes qui ne sont pas inscrites sur le site de rencontres. “Nous considérons que le stockage de données de tiers dans ce contexte est contraire aux lois sur la protection des données”, a-t-il déclaré. L’Allemagne étant l’un des pays dont les lois sont les plus restrictives en ce qui concerne les données des internautes, il n’est pas surprenant qu’une telle mesure ait été prise si rapidement.
Dans ce pays, les internautes ont le droit de savoir exactement quelles informations sont stockées par quelles entreprises et pendant combien de temps. Très similaire à ce que nous avons en Franceien… Pas du tout.
Facebook, qui est basé aux États-Unis, a jusqu’à la mi-août pour répondre aux accusations. Si elle est reconnue coupable, elle pourrait être contrainte de payer une amende de “plusieurs dizaines de milliers d’euros”, selon Caspar.
