Une autre conséquence pourrait être l’ouverture d’iTunes à la synchronisation avec d’autres appareils, tels que les téléphones Android, les lecteurs mp3 génériques et, pourquoi pas, même Zune.
Le seul obstacle à l’entrée en vigueur de la loi est que les législateurs ne sont pas parvenus à une conclusion concernant le mot “dominant” dans le texte. Apple n’est peut-être pas dominant sur le marché de la téléphonie mobile en Europe, mais il est dominant sur le marché des appareils équipés du système iOS. Il reste à voir si cela permet déjà de classer l’entreprise comme dominante ou non.
Quoi qu’il en soit, c’est ce genre de loi dont le texte doit encore être discuté et débattu. Et si c’est bien écrit, vous pouvez mettre un sourire sur le visage du président d’Adobe.