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Le nouveau centre de données Facebook dans l’Arctique se refroidira avec le climat local

Avant d’ouvrir un nouveau centre de données, une entreprise doit réfléchir à l’emplacement, aux infrastructures, aux éventuelles situations d’urgence qui peuvent se produire et à la manière de les contourner, entre autres choses. Facebook a pensé à un élément supplémentaire : économiser quelques euros sur le refroidissement des serveurs. Le nouveau centre de données en Europe dispose d’un système de refroidissement très pratique. Là, le mieux qu’ils puissent faire pour garder les machines au frais est d’ouvrir les portes et les fenêtres du bâtiment.

D’accord, c’est peut-être un peu plus compliqué que ça. Mais l’un des aspects positifs du nouveau centre de données de Facebook est qu’il tire vraiment parti du climat local : pendant huit mois par an, il va se passer de refroidissement supplémentaire. Le centre de données aura une superficie totale de 28 000 mètres carrés, utilisera 120 MW de puissance et disposera de 14 générateurs au cas où il manquerait.

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Pour l’instant, Facebook ne prévoit d’installer un serveur qu’en Europe, mais il sait déjà qu’il sera situé dans la ville de Lulea, en Suède, et qu’il sera le premier centre de données de la société en dehors des États-Unis. Le nouveau centre de données devrait être prêt en 2014 et ce n’est qu’alors qu’il permettra aux habitants de l’Europe d’accéder plus rapidement à Facebook, puisqu’ils ne dépendront plus autant des serveurs qui se trouvent de l’autre côté de l’Atlantique.

A propos de l'auteur

Bernard

Actuellement responsable informatique dans une PME, je bosse dans le domaine depuis une vingtaine d'année maintenant. Fan inconditionnel de DBZ, et de la triologie Die Hard. #teamWindows sur Perlmol !

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