Même après que Samsung ait abandonné les écrans capables d’identifier la pression du toucher sur le Galaxy S10, Google a décidé qu’il serait intéressant de porter cette capacité sur Android et en natif. Ces informations figuraient dans les documents relatifs à Android Q et en sont encore au stade des premiers tests.
Le document trouvé montre comment le système d’exploitation réagit à l’interaction de l’utilisateur, que ce soit par une simple touche, avec un stylet, une souris et une nouvelle définition appelée “deep press”. Le flux des événements en cours représente l’utilisateur qui appuie plus fort et plus intentionnellement sur l’écran. Ce type de notation devrait être utilisé pour accélérer le comportement de la presse longue”, indique le document.
Ce type d’interaction est devenu célèbre avec le 3D Touch de l’iPhone, qui présente toute la face avant de l’appareil dans une couche d’écran qui peut identifier la pression exercée, offrant une forme supplémentaire d’expérience à l’utilisateur. Sur l’iPhone, le matériel doit être compatible avec la technologie, mais on ne sait pas encore si cela fonctionnera aussi pour Android Q – ou si Google a une carte dans sa manche qui utilise des écrans conventionnels pour détecter la pression.
Samsung a même livré une zone sensible à la pression sur le Galaxy S8, a maintenu l’appel sur le S9 et a complètement abandonné le récent S10. Aucune autre grande entreprise comme Motorola, LG et Sony n’utilise quelque chose de similaire sur leurs smartphones – pas même les modèles les plus chers.
