Lorsque Microsoft a annoncé Surface Pro 3, on s’attendait à la sortie d’une version réduite de la tablette. Il a fallu presque un an, mais voilà : la société a annoncé Surface 3 mardi (31).
Le Surface Pro 3 est un modèle qui tente de prendre une part du marché des ordinateurs portables, c’est pourquoi il dispose d’un écran de 12 pouces et peut être équipé d’un processeur des lignes Intel Core i3, i5 ou i7, de 8 Go de RAM maximum et de 512 Go maximum pour le stockage interne des données. Ces caractéristiques et d’autres encore rendent l’appareil particulièrement attrayant pour les applications professionnelles.
La surface 3 vient pour atteindre un public plus large. Pour cela, Microsoft parie sur des spécifications plus douces : l’appareil est équipé d’un processeur Intel Atom x7 quadricœur de 1,6 GHz, de 2 Go ou 4 Go de RAM et de SSD 64 Go ou 128 Go d’espace.
L’écran a 10,8 pouces, une résolution de 1920×1280 pixels et, comme pour la version Pro, un rapport de 3:2, ce qui indique que l’écran a plus de “hauteur” que la moyenne.
À l’extérieur, Surface 3 est presque identique à Surface Pro 3. Ce qui change, évidemment, c’est la taille : la nouveauté a 267 mm x 187 mm x 8,7 mm, plus un poids de 622 grammes. Le support sur le dos pour laisser l’appareil “debout” est également présent, mais n’a que trois angles d’inclinaison.
Sans surprise, le système d’exploitation est Windows 8.1 64-bit qui, selon Microsoft, fonctionne sans s’étouffer sur la Surface 3. Mais ceux qui attendent avec impatience Windows 10 peuvent être rassurés : la mise à niveau vers la nouvelle version est assurée.
Dans la partie accessoires, l’acheteur peut compter sur le Surface Pen, un stylet qui le rend très pratique la prise de notes, et le Type Cover, un couvre-clavier qui “transforme” la tablette en ordinateur portable. Les deux sont vendus séparément.
La Surface 3 qui n’est pas Pro est en pré-vente aux États-Unis avec un prix de départ de 499 €. Le modèle commence à toucher les consommateurs en mai et, en cadeau, il est accompagné d’un abonnement d’un an à Office 365 Personal.
Quant à France, eh bien, qui sait sur la surface 4 ?