Note de la rédaction : PerlmOl s’est trompé. Le déjeuner de tout à l’heure était si bon que nous pensions que c’était vendredi. Et puis le Jeu addictif de la semaine est arrivé le mauvais jour, au milieu du jeudi. Il en restera ainsi. La chronique d’Izzy Noble, généralement le jeudi, va jusqu’au vendredi (31).(Thássius Veloso)
Il y a des jours où je mets mes instincts de tueur en veilleuse et où je passe toute la journée à regarder des GIF de chatons sur les réseaux sociaux. J’ai même quelques exemples, si vous voulez. C’est vrai, il y a une partie de moi qui continue à chercher des choses mignonnes pendant que le côté sanglant se repose. Cette pièce endormie vous apporte le puzzle relaxant du Sushi Cat aujourd’hui. Relativement relaxant, en fait.
Sushi Cat raconte l’histoire d’un très mignon chat bleu qui tombe amoureux d’un beau chat rose et découvre, par déduction et pure intelligence, que le seul moyen de l’avoir est de faire de l’embonpoint. Comme un chat qui engraisse ? En lui remplissant le ventre de sushis, évidemment. Les chats adorent les sushis. Il suffit de regarder le bourdonnement de cette petite boule poilue pour s’en convaincre.
Pour collecter le plus de sushis possible, vous devez calculer le meilleur itinéraire d’automne et relâcher le Sushi Cat de manière à ce qu’il devienne assez gros pour atteindre la fin du niveau. C’est un mélange de Pinball et de Peggle, si vous regardez bien par-dessus. Le début est assez simple et il n’est presque pas nécessaire de créer des stratégies compliquées, mais avec le temps, vous devez décider quelle est la meilleure voie en tenant compte de la physique circulaire du chat et de la quantité de poids qu’il prendra pendant le mouvement. Sans parler des pièces qui ne cessent d’avancer. Capriche dans le timing des mouvements et le temps de collecte du Maneki Neko – power-ups du jeu – pour obtenir le score maximum.
Passez tous les niveaux et suivez le voyage de Sushi Cat derrière son amour platonique, avec une fin pour le moins surprenante. Et en bonus, quelques GIFs supplémentaires. Nom nom. Et un autre. Et le dernier, je le jure.